Manifestations

Ce vendredi 27 novembre, un front commun s’est élevé contre la loi « sécurité globale » et plus généralement afin de dénoncer le recul des libertés individuelles et publiques. Avec un rassemblement fixé la veille d’une date nationale scrutée, la capitale comtoise

C’est toute une corporation qui a exprimé son extrême désarroi ce mardi à Besançon, touchée de plein fouet par les restrictions et fermetures liées à la crise sanitaire. Responsables de TPE-PME, commerçants, artisans, auto-entrepreneurs, tenanciers divers, et certains de leurs

Renforcement du système de santé et d’éducation, préservation des acquis sociaux, considération des plus modestes et précaires, soutien aux petits commerçants et artisans, arrêt des politiques jugées liberticides… voilà quelles furent à nouveau les revendications majeures de ce samedi 21

Ils étaient quelques dizaines de fidèles à prier en plein air, suivant un catholicisme rigoriste assumé. Les organisateurs souhaitaient ainsi réclamer la reprise des services confessionnels, interrompus depuis près d’un mois avec le confinement. Mais alors que d’un côté les

Mardi, 17 Novembre 2020, une dizaine de rassemblements étaient organisés, en réaction à l’examen de la loi dite de « sécurité globale. » Les défilés se sont mués en démonstration populaire dans plusieurs villes, occasionnant des affrontements. L’initiative n’était pas

L’intersyndicale C.G.T., F.S.U., S.U.D./Solidaires, les étudiants du F.I.D.L., M.N.L., U.N.E.F., U.N.L., des sections d’autres structures telles que F.O. ou l’U.N.S.A., ainsi que des partis et organisations politiques notamment le P.C.F., la France insoumise, à gauche citoyens, et des mouvements comme

Jeudi 28 Mai 2020, plus de 400 personnes s’étaient donné rendez-vous devant le CHRU de Besançon pour une manifestation contre « le Ségur de la Santé » et la précarisation de l’hôpital public. Reportage vidéo: