Loi travail : « C’est une déclaration de guerre sociale ! »
Pour la CGT, c’est une deuxième salve de manifestation, après la première journée de mobilisation qui s’est tenue la semaine dernière.
C’est une déclaration de guerre et la réponse est dans la rue pour ce mouvement qui intervient à la veille de la présentation des ordonnances en conseil des ministres pour réformer le code du travail.
Dans le bruit ambiant, on entend « On lâche rien » Les jeunes étaient dans la rue aussi aujourd’hui et ça fait un moment que ça dure. Wiam est mobilisée depuis longtemps contre les réformes du code du travail.
Le gouvernement campe sur ses positions, Emmanuel Macron n’a pas l’intention de céder face à la pression de la rue
« Je crois dans la démocratie, mais la démocratie ce n’est pas la rue » a-t-il dit après son discours à la tribune de l’ONU. « Si je respecte ceux qui manifestent, je respecte aussi les électeurs français et ils ont voté pour ce changement« .
Est ce que cette manifestation peut vraiment faire bouger les lignes, sur la casse du code du travail ?
Réponse de ce militant de longue date… Il n’est pas dupe, il pense global et il veille.
Le collectif Palestine de Besançon qui regroupe des associations des droits de l’Homme mais aussi des syndicats et des partis politiques, des mouvements, s’inquiètent du sort de Salah Hamouri, détenu en Israël et qui se heurte au silence de la France.
La première manifestation était très suivie localement, elle l’était un peu moins ce 21 septembre comme le faisait remarquer Clément, étudiant en Droit, membre du PCF et du Mouvement Jeunes Communistes de France
Sylain, de la fédération anarchiste et membre du groupe Proudhon se bat pour les jeunes à qui il demande de se bouger
Le mot de la fin pour Gaëlle et Hector du lycée Pasteur de Besançon qui répondent encore présents à cette mobilisation contre la réforme du code du travail.